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Les BamBous Bleus

Frédérique Rouvelet-Longère - Médium de naissance - Magnétiseuse - Hypnose régressive ésotérique - Méthode JMV - Bilan énergétique : Aura et Chakras (En présentiel ou en distanciel) - 4 rue Botkermarrec 56150 BAUD - Tél. : 02.30.91.98.54

Pourquoi l’être humain ment-il ?

Pourquoi l’être humain ment-il ?

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Que celui qui n’a jamais menti jette la première pierre !

C’est la propre de l’être humain de mentir, mais pourquoi ? Pour obtenir ce qu’il veut, mais il sait pertinemment que ce qu’il veut n’est pas juste, donc il ment pour l’obtenir.

Quand c’est un enfant qui ment et que l’on s’en rend compte, on lui explique que ce n’est pas bien. Que de mentir c’est ne pas faire confiance, c’est tromper l’autre et le prendre pour plus bête qu’il n’est. 

Nous avons tous essayé de cacher une bêtise. Mais nous savions que c’était une bêtise, sinon pourquoi la cacher ?

Donc les gens mentent pour obtenir quelque chose d’interdit dans leur intérêt personnel ; mais qu’ils savent ne pas être justes. Ne parlons pas de la condescendance et de la prise de pouvoir !

Par exemple Quelqu’un ment pour ne pas être puni. Mais la punition, et pas le châtiment, je dis bien la punition est indispensable à la compréhension des règles. Car sans règles de vie ont faire tout et n’importe quoi, sans se soucier des conséquences.

Quand on est enfant, on accepte difficilement les règles, mais sans règles de vie les enfants n’ont aucun repères, donc ne savent pas où sont les limites, et sont tellement libres que cela les angoissent.

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Mais quand on est adulte, on sait, et on le fait sciemment, pour obtenir quelque chose que l’on sait ne pas être juste. Donc c’est se moquer de la personne à qui l’on ment, c’est ne pas être juste avec elle. Et la prendre pour une personne qu’il n’est pas nécessaire de respecter.

Ce qui est encore plus grave, c’est de limiter les libertés d’une personne par le mensonge.

Empêcher, ou limiter les libertés est pour ma part la faute la plus grave. Car qui que nous soyons, de quel droit nous accordons nous la prérogative de limiter les libertés des autres.

La liberté des uns, s’arrête où commence celle des autres.

Pour nos enfants, j’ai pour ma part posé des limites, pas toujours comprises, car ils n’avaient pas toujours conscience du danger prenaient. Le danger qu’il y a pour un enfant de 16 ans de trainer après minuit, sur la fin d’un évènement festif.

Moi je le sais, car c’est généralement à ce moment là que les gens qui cherchent une proie sont en vigilance maximum, et cherchent les victimes potentielles. Donc je préfère que mes enfants rentrent juste avant la fin, pour ne pas se trouver sur leur chemin.

Est-ce mauvais de mettre des limites, je ne pense pas ; par contre c’est mauvais de mentir pour les transgresser.

Pour ce qui est des enfants il y a un âge légal auquel ils deviennent responsables d’eux même, la majorité. À 18 ans, et pas avant ! C’est parce qu’avant l’on estime qu’un enfant est sous la responsabilité physique et moral de ses parents.

A nous de faire en sorte qu’à cet âge il ait reçu des règles de vie, des limites, du respect, et une moralité qui leur permettra de faire les bons choix.

Et si les valeurs inculquées c’est que le mensonge paie, ils continueront à l’âge adulte de mentir pour obtenir ce qu’ils veulent.

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Après il y a ceux qui savent que ce n’est pas bien de mentir, mais qu’ils le font quand même, car la satisfaction de leurs désirs reste la priorité. Ce qui arrive très souvent chez les enfants rois, qui deviennent des adultes tyrans.

Mais si l’on a fait notre job de parent, donné une éducation et des limites à nos enfants, nous en ferons des adultes responsables et respectueux des autres, mais aussi d’eux même. Car les valeurs qu’ils auront reçues leur permettront de détecter les comportements délictueux, et ne pas laisser les autres dépasser les limites de leur intégrité morale et physique.

Deux de mes enfants commencent leur vie d’adulte, et doivent maintenant gérer dans de leur couple leurs valeurs et leurs limites.

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Je ne m’en mêle pas car je peux leur faire confiance, et je sais qu’ils viendront vers moi me demander conseil, que s’ils arrivent dans une impasse. Et même là je leur donnerais des conseils mais n’imposerait jamais mon point de vue.

Car c’est leur histoire, et plus la mienne. Il y a un poème que vous pouvez trouver sur ce blog « les enfants » de Khalil Gibran. Ils ne nous appartiennent pas. Nous ne sommes là que pour leur donner les meilleures règles de vie, pour qu’ils puissent devenir des personnes respectables.

***

Il y a un autre cas de figure quand les parents mentent aux enfants, pour leur faire croire des choses fausses, afin de les garder sous leur coupe et sous leur influence. C’est intolérable, car c’est valoriser leur vérité, et comme je l’ai dit plus tôt l’on ment pour obtenir ce que l’on sait ne pas être juste.

Donc ces adultes mentent pour garder une emprise sur leurs enfants. Quelque soit leur âge, plus cet âge avance, plus c’est grave de mentir sciemment, car le jour où l’enfant se rend compte que ses parents lui ont menti, il perd toute crédibilité à ces yeux. Car à ce moment là il perd la confiance que son enfant mettait en lui. Et que ce soit la vérité ou un mensonge, tout ce que ce parent dira à son enfant, il le considèrera comme à remettre en question.

C’est comme un enfant qui a mentit à ses parents, il y a besoin de temps pour que ces parents lui fassent à nouveau confiance. Il en est de même pour un parent qui a menti à son enfant, il faudra du temps pour que son enfant lui fasse à nouveau confiance. Cela marche dans les deux sens.

L’âge n’accorde aucune prérogative, quand on impose aux autres une règle, il est essentiel de soi même la suivre, car sinon nous ne sommes pas crédibles.

Et donc quand une mère demande à son fils de faire attention à sa propre fille, et que pour cela elle ment et insulte son fils au passage, elle perd toute crédibilité. Les dégâts occasionnés dans la relation entre le fils et sa mère lorsque la vérité éclate, sont préjudiciables à tous.

Il n’est déjà pas aisé entre parent d’avoir le même mode éducatif, car bien souvent l’un est toujours plus laxiste que l’autre, et les enfants savent en jouer, pour obtenir ce qu’ils veulent.

En cas de séparation, une troisième voir quatrième personne rentrent en jeu, le beau père et la belle mère. Ce qui complique un peu les choses, déjà que les parents se servent des enfants pour faire payer à celui qui est parti d’avoir osé le quitter, l’enfant devient alors un objet de vengeance.

Et si les grands-parents s’en mêlent, mon dieu quel déchirement, et la famille n’en sortira pas indemne. Car quand les enfants deviennent des outils de vengeance ou de manipulation, aucune éducation n’est alors possible ; et le mensonge peut alors prendre le dessus.

Nous avons le même cas dans d’autres domaines que nous subissons chaque jour, par exemple la politique.

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Les politiques mentent pour obtenir des prérogatives sur nos vies, et nous garder sous leur influence néfaste, ou sous l’influence néfaste des personnes qui leur ont permis d’être élus, ceux qui ont payés leur campagne électorale, pas les gens qui votent.

Le mensonge mène le monde, et la vérité de chacun n’a de base que la satisfaction de ses propres désirs. Par l’intermédiaire d’une prise de pouvoir abusive des uns sur les autres.

Les parents sur les enfants, même des fois des enfants sur les parents. Des politiques que nous élisons pour qu’ils nous protègent et défendent nos intérêts. Mais sur cette planète, à partir du moment où quelqu’un obtient ou s’octroie un minimum de pouvoir il en profite pour servir ses propres intérêts.

Pour moi la définition de mot pouvoir, c’est : je peux.

Et nous pouvons reprendre le pouvoir sur notre vie, simplement en interdisant aux personnes qui cherchent à décider pour nous de ce qui est bien ou non, par l’abus d’autorité ou de hiérarchie, de le faire.

Car il n’y a pas de vraie liberté, dans le mensonge et l’abus d’autorité.

Nous sommes des âmes incarnées dans des corps mortels, et de donner à l’autre un quelconque pouvoir sur sa propre vie, c’est lui accorder le droit de choisir à notre place. Et pour se libérer de cela il y a très souvent conflit. Car si la personne qui s’octroie des droits abusifs ne se laissera pas faire, il y a lutte. Mais la lutte n’est pas du faite de l’oprimé, mais bien de celui qui l’opprime et qui refuse de cesser de le faire.

La place est trop belle, mais attention, que celui qui vous aide à vous libérer ne prenne pas le dessus sur vous et vous mette alors sous sa coupe. C’est ce qui arrive en cas de révolution, celui qui libère le peuple accepte rarement de ne pas être élu lors des élections suivantes et prend alors le pouvoir de force, c’est ce qui c’est passé en Côte d’Ivoire, ou même ce qui se passe encore dans les pays du Maghreb. Le pouvoir au libérateur, plutôt qu’à la démocratie ! Hé bien voyons, cela s’appel une autre dictature.

***

Vous savez que j’ai un cabinet, donc pour mettre en application ce principe de base pour moi : lorsque quelqu’un me prend pour la solution et attend que je lui donne toutes les réponses je le confie à un confrère, car je refuse de prendre le pouvoir sur qui que se soit. Et être considérée comme la solution de tous les problèmes d’une personne, c’est du vol d’expérience. Cela empêche cette personne de résoudre ses soucis par elle-même et la rend dépendante de notre aide. Je ne travaille pas comme cela !

Et encore moins dans ma vie de tous les jours, mon premier mariage était sous ce schéma dominant dominé et hors de question de revivre cela. Mais cela à un autre effet, je ne peux pas non plus concevoir que mes proches soient victimes de ce genre d’abus.

Et comme les personnes qui maintiennent quelqu’un sous leur emprise, ne comprenne pas que l’on puisse échapper à leur autorité sans être sous le joug de quelqu’un d’autre, elle pense que je prends automatiquement le pouvoir. Hé bien si, cela peut arriver. Et cela arrive tous les jours. Car quand une personne abusée prend conscience de cet abus, elle n’accepte plus cette attitude de personne d’autre. Et donc plus aucun mensonge, ni aucun chantage affectif n’aura d’impacte sur elle.


En plus ceux qui abusent, forcent le trait et utilisent des stratagèmes de moins en moins subtiles, jusqu’à tellement mentir qu’ils se discréditent tout seul, et perdent du coup toute crédibilité, et enfin la liberté peut exister.

Le mensonge tue le mensonge, donc un peu de patience, tout mensonge un jour sera révélé. Et ce n’est pas celui qui détecte le mensonge le responsable, mais bien celui qui le commet.

L’honnêteté paie toujours, même si d’être honnête et respectueux, fait de nous pendant un certain temps des victimes, quand suffisamment de personnes auront acquis ces qualités, la liberté et la vérité gagneront implacablement.

Et de s’opposer au mensonge ne fait pas de nous un agresseur, même si cette opposition est véhémente. Elle n’est que proportionnelle au mensonge.

Et si la vérité nécessite que l’on s’insurge, faisons-le !

Si vous avez à faire à moi la colère n’est que le premier pas, car lorsque je me calme face à un agresseur physique ou moral, c’est là qu’il doit se méfier, car c’est que j’ai trouvé le moyen de le stopper, de façon infaillible et sans violence aucune, sans que la solution ne porte préjudice à qui que ce soit d’autre qu’eux-mêmes.

Et je les en remercie, car ils auront réussi à repousser les limites de ma compréhension, et fait que je comprenne encore mieux l’humain, et que je puisse encore mieux aider leurs victimes, qui viendront me consulter, à se défaire de leur emprise.

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Car chaque problème résolu, n’est plus un problème, mais une leçon apprise. L’ignorance permet le mensonge et l’annihilation, alors que la connaissance permet la liberté.

Et pour former des adultes responsables et respectueux, il faut leur apprendre la vérité et ne pas leur mentir.

On ne peut pas obtenir tout ce que l’on veut, on ne peut pas faire ce que l’on veut tout le temps. Car les autres existent et ils ont droit à exactement la même chose, cela s’appelle la tolérance et la solidarité, par le respect d’autrui. Quelque soit son origine, sa religion et sa couleur de peau.

Et la victime ne doit pas devenir bourreau. Merci M. Mandela de nous avoir appris cela.

Félicitée à tous

Frédérique

Quelque citations de circonstances :


« Lorsque nous critiquons, il faut le faire avec une humilité et une courtoisie qui ne laisse subsister aucune amertume.  »

de Gandhi

 

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 « L'erreur ne devient pas vérité parce qu'elle se propage et se multiplie ; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit.  »

de Gandhi

 

 

 

 « La vraie moralité ne consiste pas à suivre les sentiers battus, mais à découvrir ce qui est pour nous-mêmes la vraie voie et à la suivre avec intrépidité

Tout véritable progrès est impossible sans une telle poursuite acharnée de la vérité.  »

de Gandhi

 

 

 

« La non-violence ne consiste pas à renoncer à toute lutte réelle contre le mal. C'est au contraire, contre le mal, une lutte plus active et plus réelle que la loi du talion.  »

de Gandhi

 

 ***

 

Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est

vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.

Nelson Mandela

 

invictus Mandela in prison


Dans la nuit qui m'environne,

Dans les ténèbres qui m'enserrent,

Je loue les dieux qui me donnent une âme

À la fois, noble et fière.



Prisonnier de ma situation,

Je ne veux pas me rebeller.

Meurtri par les tribulations,

Je suis debout, bien que blessé.



En ce lieu d'opprobre et de pleurs,

Je ne vois qu'horreur et ombres.

Les années s'annoncent sombres,

Mais je ne connaîtrai pas la peur.


Aussi étroit que soit le chemin,


Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme ;

Je suis le maître de mon destin,

Je suis le capitaine de mon âme.

 

William Ernest Henley ( 1849-1903 )

 

 

Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de la

haine, des préjugés et de l'étroitesse d'esprit.

Nelson Mandela

 

 

C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme de

lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre

choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une

forme de légitime défense.

Nelson Mandela

 

 

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